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Par Martin Graham | 5 février 2024
Le monde du football se prépare à un changement sismique alors que la Coupe du monde 2026 se prépare à briser les normes avec un spectacle révolutionnaire à 48 équipes. Sorti de l’ombre de l’édition hivernale non conventionnelle du Qatar, ce tournoi promet un été d’une intensité inégalée, étalé sur les vastes paysages du Canada, des États-Unis et du Mexique. Une rupture avec la structure conventionnelle de 32 équipes marque un changement de paradigme dans le grand récit du football international.
La tapisserie du football mexicain et l’ouverture nord-américaine
Le Mexique, un colosse du football au passé riche, apparaît comme un protagoniste clé, accueillant des matchs dans l’emblématique stade Azteca, à Monterrey et à Guadalajara. Cette nation d’Amérique centrale, deux fois hôte de la Coupe du monde, ajoute sa touche unique au tableau du drame du football mondial. Le Canada, avec ses deux sites à Toronto et Vancouver stratégiquement placés aux extrémités opposées, contribue à la symphonie continentale, tissant son propre récit dans le tissu complexe du tournoi.
Les États-Unis dévoilent leur octave de villes hôtes
Dans un kaléidoscope de ferveur footballistique, les États-Unis déploient leur grandeur avec des matches répartis dans huit villes différentes. Du faste de Los Angeles au charme historique de Boston, en passant par l’énergie palpitante de New York et les pôles technologiques de Seattle et de San Francisco, chaque ville devient une palette distincte dans la tapisserie vibrante du beau jeu. Le voyage débutera dans la Cité des Anges le 12 juin, déclenchant une odyssée footballistique transcontinentale qui promet d’être aussi diversifiée que la nation elle-même.
L’expédition Coupe du Monde 2026 dévoilée
La première partie se déroule avec la phase de groupes (11-27 juin), un voyage mélodique à travers les paysages vibrants de Vancouver, Toronto, Mexico, Monterrey, Guadalajara, Seattle, San Francisco, Los Angeles, Houston, Dallas, Kansas City, Atlanta. , Miami, Boston, Philadelphie et New York/New Jersey. Le mélange harmonieux des cultures et la ferveur du football préparent le terrain pour une saga footballistique sans précédent. Le récit prend une tournure imprévisible avec les huitièmes de finale (29 juin – 3 juillet), où toutes les villes hôtes, à l’exception de Guadalajara et Philadelphie, deviennent le théâtre d’intenses confrontations. Los Angeles et Dallas, accueillant chacun deux matchs, ajoutent un crescendo de suspense à la phase à élimination directe.
Le grand crescendo : du prélude de Vancouver au final de New York
Au fur et à mesure que le tournoi progresse, la phase à élimination directe (du 4 au 7 juillet) devient le grand crescendo, avec des matchs à Vancouver, Seattle, Mexico, Houston, Dallas, Atlanta, Philadelphie et New York/New Jersey. Les quarts de finale (9-11 juillet) amplifient le drame à Los Angeles, Kansas City, Miami et Boston. Les demi-finales (14 et 15 juillet) se dérouleront dans les hauts lieux du football que sont Dallas et Atlanta, avant de se terminer par la grande finale – le crescendo ultime à New York/New Jersey le 19 juillet. Préparez-vous pour une expédition de Coupe du Monde à travers des territoires inexplorés. , où le football transcende les frontières et où l’Amérique du Nord devient le théâtre d’une odyssée épique du beau jeu.
Martin Graham est un écrivain sportif MFF
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